Services écosystémiques : Apports et pertinence dans les milieux urbains – Colloque international, 24-26 mai 2016 à Tours (France) –http://se-urbains2016.sciencesconf.org/
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Conférence interdisciplinaire “dynamiques sociales et changement climatique” 28-30 octobre 2015
Dans le cadre de la préparation des négociations sur le climat qui auront lieu à Paris en décembre, l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne a reçu le label COP21 pour organiser « la semaine durable »: une série d’événements qui alimente la réflexion sur l’évolution de nos sociétés dans le contexte du changement climatique.
Dans ce cadre, nous avons le plaisir de vous inviter à la conférence interdisciplinaire dynamiques sociales et changement climatique qui aura lieu en Sorbonne, amphithéâtre de gestion, du 28 au 30 octobre 2015.
Y interviendront notamment, Klaus Toepfer, ancien ministre allemand de l’environnement et Carlo Carraro, vice-président du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).
Des informations détaillées sont disponibles sur le site www.univ-paris1.fr/cop21 où vous pouvez notamment vous enregistrer pour participer à la conférence (inscription gratuite mais obligatoire).
Une exposition d’art contemporain « Le méridien climatique » est également organisé à cette occasion au centre Panthéon du 20 au 30 octobre et un ouvrage « Penser le changement climatique » publié aux Publications de la Sorbonne.
Le comité d’organisation
Cycle de séminaires : points de vue des SHS sur les services écosystémiques
Les Mardis d’Ecoserv: un cycle de 3 séminaires dédié aux points de vue des sciences sociales sur les services écosystémiques
Dans le cadre des mardis d’Ecoserv, un cycle de 3 séminaires est dédié aux points de vue des Sciences Humaines et Sociales (SHS) sur la notion de Service Ecosystémique (SE). Quel est le regard spécifique des SHS sur cette notion ? Quels sont les fronts de recherche qu’elle suscite au sein des communautés et des disciplines SHS ? Quels peuvent être les apports des SHS dans les travaux en sciences biotechniques (SBT) sur les SE, et inversement ?
Pour répondre à ces questions, ce cycle de séminaires est organisé autour de trois points, objets d’investigation des SHS : 1) les fondements conceptuels de la notion de SE, ses présupposés théoriques et épistémologiques, et les représentations des relations homme-nature auxquelles elle renvoie, 2) les modes de gouvernance dérivés de cette notion et la complexité des relations sociales sous-jacentes, notamment les compromis sociaux et les processus de négociation associés aux trade-offs entre services, 3) les méthodes d’évaluation des services écosystémiques, la place des approches délibératives, les questionnements éthiques et la spécificité des services culturels.
Ce cycle de séminaires s’adresse aussi bien aux chercheurs en SHS qu’à ceux en SBT. Il vise à permettre une meilleure compréhension réciproque de ce que peuvent être les SE et à favoriser une confrontation des points de vue sur cette question des chercheurs en SHS et de ceux en SBT, notamment dans le cadre de l’atelier organisé le 10 novembre (séance 2).
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JONAS KAESLER
Jonas Kaesler arbeitet als Historiker mit transnationalem Schwerpunkt im Rahmen des Projekts “Saisir-Europe. Herausforderung Europa.”
Seine bisherigen Arbeiten konzentrierten sich zudem auf die deutsche Generationsgeschichte. So hat er unter anderem eine Studie zu Besatzungsmitgliedern der deutschen “Helgoland-Mission” im Vietnamkrieg veröffentlicht.
Für seine Doktorarbeit forscht Jonas Kaesler über die transnationale Geschichte der frühen Umweltbewegungen der fünfziger und sechziger Jahre im Saar-Lor-Lux-Gebiet.
Seine Arbeit verknüpft hierbei Umweltgeschichte mit Forschungsschwerpunkten aus der “histoire croisée” und der “Strukturgeschichte” der École des Annales, um die Dependenzverhältnisse und transnationalen Erfahrungen der wichtigen Akteure herauszuarbeiten. Geleitet durch eine methodisch-empirische Studie soll somit die Rolle der staatlichen Institutionen, der Politik, der Justiz, sowie der Medien und der Bürgerbewegungen hinsichtlich der transnational- und regional existierenden Verbindungen im Mittelpunkt des Forschungsprojektes stehen.
Susanne Börner
Susanne Börner forscht zu den Themen Nachhaltigkeit und Umweltgerechtigkeit in der städtischen Entwicklung. Zu diesem Thema hat sie bereits ein Forschungsprojekt zum Thema Wahrnehmung von umweltbedingten Gesundheitsrisiken in benachteiligten Stadtgebieten in Mexiko durchgeführt. Für ihre Doktorarbeit beschäftigt sie sich jetzt, basierend auf dem Capability-Ansatz, mit dem Thema Umweltgerechtigkeit in urbanen Räumen in Europa und Lateinamerika. Ihr Forschungsinteresse gilt hierbei insbesondere den Themen Vulnerabilität und Coping-Prozesse im Bezug auf Umweltstressoren.
Anaïs Volin
Anaïs Volin travaille sur le thème du développement durable à travers la thématique de la durabilité. En géographe, elle aborde la question des transports durables grâce aux nouveaux corridors européens de transports mis en place en janvier 2014. Au cours de son doctorat, elle aura l’occasion de s’intéresser plus particulièrement aux corridors Atlantique et Rhin-Danube puisqu’ils incluent une nouvelle ligne à grande vitesse ferroviaire entre Paris et Bratislava. Son travail s’attachera à comprendre ce que pourrait être un transport durable et si la grande vitesse ferroviaire incarne l’avenir de nos transports en Europe.
Anahita Grisoni
Sujets principales: la dimension environnementale des mouvements sociaux, les ONG de protection de l’environnement à Téhéran, la diffusion de la naturopathie en France, la construction politique du risque environnemental à Cuba, conditions de réalisation d’une « démocratie par le bas » à partir de la participation des acteurs sociaux à la vie publique
Les travaux d’Anahita Grisoni portent sur la dimension environnementale des mouvements sociaux. Après avoir travaillé sur les parcs naturels en Andalousie (2003/2004), les ONG de protection de l’environnement à Téhéran (2004/2005), la diffusion de la naturopathie en France (2006/2011) et la construction politique du risque environnemental à Cuba, elle s’intéresse aux conditions de réalisation d’une « démocratie par le bas » à partir de la participation des acteurs sociaux à la vie publique.